Le roi Dagobert
J'arrive des toilettes. En pissant, j'ai vu qu'un bout de tissu sortait de ma braguette. C'était l'étiquette de mes bobettes.
J'ai mis mes bobettes à l'envers! Le devant derrière et le dessus dessous.
Les facéties d'une gousse qui craint
J'arrive des toilettes. En pissant, j'ai vu qu'un bout de tissu sortait de ma braguette. C'était l'étiquette de mes bobettes.
J'ai mis mes bobettes à l'envers! Le devant derrière et le dessus dessous.
par La gousse craintive vers 12:39 0 commentaires
Moi qui n'avais jamais saigné du nez, c'est fait. Ce matin, en levant, j'avais l'hémorragie.
par La gousse craintive vers 10:44 0 commentaires
Voilà, c'est officiel, le prochain numéro de Lapsus, la revue de création littéraire de l'UQAM, sera lancé le jeudi 5 octobre. L'édition sera gratuite pour en maximiser la diffusion.
C'est dans cette revue que je publie mon deuxième texte, Céline.
par La gousse craintive vers 12:40 0 commentaires
Vous l'aurez lu d'abord sur ce blogue:
cette Mme Wong, du Globe and Mail, qui fait scandale pour avoir dit que les fusillades dans les écoles n'ont lieu qu'au Québec à cause de la mentalité "pure laine" des Québécois et de la loi 101, peut aller se rhabiller: En 1999, une fusillade a eu lieu dans une école secondaire de l'Alberta:
http://www.cbc.ca/news/background/taber/
C'était facile à trouver, ça prenait un simple soupçon dans ma mémoire et une petite recherche sur Google.
par La gousse craintive vers 11:41 0 commentaires
"Le premier homme qui a bénéficié d'une transplantation du pénis demande qu'on le lui retire seulement deux semaines après l'opération en raison d'un problème psychologique." - Radio-Canada.ca
Si je comprends bien, cet homme préfère ne pas avoir de pénis du tout. *soupir*
par La gousse craintive vers 10:57 0 commentaires
Ce week-end j'ai réalisé qu'au terme de ma maîtrise je serais devenu expert en sacrifices sans en commettre un seul.
par La gousse craintive vers 14:31 0 commentaires
La Catalogne et moi étions debout dans la lande. À notre droite une clotûre nous séparait d'un troupeau de moutons. Devant nous, une autre clôture nous séparait de la basse-cour remplie de poules. Le poulailler était ouvert. Nous voyions le vieux fermier immobile à l'intérieur.
- Allô?
- Bonjour?
- Allllôôôô?
Le fermier ne remarquait pas notre présence. Nous agitions les bras. Il cachait ses yeux avec sa main. Nos gesticulations étaient inutiles. De longues minutes comme ça à héler cet homme. Les moutons bêlaient. Les poules jacassaient.
Rien à faire. Le fermier restait debout, hagard, dans son poulailler.
- Aller, partons.
Mais la Catalogne voulait insister. Alors nous avons insisté. Puis finalement, après de longues minutes, le fermier nous a aperçu. Il s'est approché. C'était un slave. Il avait l'accent de là-bas.
- Avez-vous du lapin? qu'on lui demande.
- Non, je n'en ai plus, il est trop petit.
- Oh.
- C'est pour le manger?
- Oui.
- Alors il faut attendre encore. Il n'est pas prêt.
Et nous sommes partis.
par La gousse craintive vers 14:20 1 commentaires
Un flash m'est venu: chercher L'Aurore dans le catalogue de la Grande Bibliothèque. Et j'ai trouvé. Le recueil est là, en plus d'un exemplaires, sur une étagère.
par La gousse craintive vers 13:21 0 commentaires
Commentaire de Renée, à Terre-Neuve: il vente, il pleut et il fait chaud.
C'est ça, un ouragan.
par La gousse craintive vers 13:02 0 commentaires
Il paraît qu'il va y avoir un trou au plafond de ma salle de bains. Quand la pluie sera vraiment forte, quelqu'un viendra percer la paroi. Et à moi, il ne restera plus qu'à prendre une douche.
par La gousse craintive vers 12:57 0 commentaires