Tantôt, c'était les oiseaux migrateurs.
J'ai le printemps qui m'outarde.
Les facéties d'une gousse qui craint
Tantôt, c'était les oiseaux migrateurs.
J'ai le printemps qui m'outarde.
par La gousse craintive vers 17:18 0 commentaires
Libellés : outardes