Elles sont de retour
Ce matin, j'avais beau être plus en retard que d'habitude, j'avais beau être blasé de tout, le passage des outardes au-dessus de ma tête m'a arraché un sourire.
Les facéties d'une gousse qui craint
Ce matin, j'avais beau être plus en retard que d'habitude, j'avais beau être blasé de tout, le passage des outardes au-dessus de ma tête m'a arraché un sourire.
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Libellés : outardes
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Libellés : lu quelque part
"C'est encore les fonds publics qui vont éponger les pots cassés."
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Libellés : entendu quelque part, Tourner sa langue
En cette année du centenaire, on mesure bien à quel point le Canadien est, pour emprunter une expression chère aux partisans du FC Barcelone, «plus qu'un club». Qu'il le veuille ou non, il a des responsabilités qui dépassent celles d'une équipe sportive ordinaire. Y compris celle de s'assurer que les entraîneurs d'ici aient leur chance de jouer dans la cour des grands. (Jean-François Bégin, "Halak et rien d'autre", Cyberpresse)
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Libellés : bcn-mtl
François Parenteau, au sujet de la bataille sur la bataille des plaines d'Abraham : La bataille pour rien.
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Un étudiant étranger à un autre : "Au Canada, tout est possible!"
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Libellés : entendu quelque part
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Libellés : facétie
Comme dans : "Je ne voudrais pas que tu te fasses de mauvaise bile."
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Libellés : Tourner sa langue
Je suis triste de voir autant d’hommes dans le trou noir. Je respecte les hommes, j’ai besoin des hommes et j’aime les hommes. Dans notre maison mon mari et mon beau fils ont toujour uriné DEBOUT, moi et ma belle-fille assisent. Hommes du québec debouts car il y a des femmes jeunes et moins jeunes qui vous espère. (Commentaire de delbast laissé sur le blogue de Patrick Lagacé)
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Libellés : Gousse qui glousse, lu quelque part
Ils sont morts parce qu'ils étaient soldats. C'est un risque du métier de soldat. Au Canada on est soldat par choix. Ceux qui meurent pour rien à la guerre, ce sont les conscrits, les civils dans leur maison bombardée par erreur, les enfants qui trouvent les mines qu'ont posées les soldats. (Pierre Foglia, "Une guerre comme ça", La Presse)
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Libellés : lu quelque part
Il me semblait qu'elle m'eût considéré comme un fou; je cessais de croire partagés par d'autres êtres, de croire vrais en dehors de moi les désirs que je formais pendant ces promenades et qui ne se réalisaient pas. Ils ne m'apparaissaient plus que comme les créations purement subjectives, impuissantes, illusoires, de mon tempérament. Ils n'avaient plus de lien avec la nature, avec la réalité qui dès lors perdait tout charme et toute signification et n'était plus à ma vie qu'un cadre conventionnel comme l'est à la fiction d'un roman le wagon sur la banquette duquel le voyageur le lit pour tuer le temps. (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, p. 202)
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Libellés : lu quelque part