Technodogme (bis)
Ce matin, j'avais un pamplemousse dans les mains. Devant moi, un vieillard validait ses billets de loterie. La Catalogne m'attendait près de la porte du magasin.
Le vieillard expliquait au caissier que le billet qu'il lui tendait était gagnant.
Le caissier : "C'est la machine qui va nous le dire".
La machine: "Pas bon."
Le vieillard a insisté, disant qu'il avait vérifié lui-même les numéros, que la combinaison était décomposable dans l'ordre et dans le désordre, qu'il avait les deux premiers chiffres, bref, qu'il avait gagné vingt piasses.
"Monsieur, c'est la machine qui décide."
Le monsieur a repris son billet, en a sorti un tas d'autres à valider. On m'a permis de payer mon pamplemousse entre deux 6/49 et de m'enfuir, pressé.
Dehors, la Catalogne m'a dit: "C'est comme toi mardi avec le technicien de l'Udm.
- Sapristi, tu as raison!"
Le vieillard expliquait au caissier que le billet qu'il lui tendait était gagnant.
Le caissier : "C'est la machine qui va nous le dire".
La machine: "Pas bon."
Le vieillard a insisté, disant qu'il avait vérifié lui-même les numéros, que la combinaison était décomposable dans l'ordre et dans le désordre, qu'il avait les deux premiers chiffres, bref, qu'il avait gagné vingt piasses.
"Monsieur, c'est la machine qui décide."
Le monsieur a repris son billet, en a sorti un tas d'autres à valider. On m'a permis de payer mon pamplemousse entre deux 6/49 et de m'enfuir, pressé.
Dehors, la Catalogne m'a dit: "C'est comme toi mardi avec le technicien de l'Udm.
- Sapristi, tu as raison!"
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