Technodogme
Cette semaine, j'ai dû aller voir un technicien de l'Université de Montréal pour lui demander un nouveau mot de passe pour accéder au portail du site web de l'institution. J'avais bien essayé de m'en procurer un à partir du site même, mais après des heures de vains essais et de sacres bien sentis, j'ai dû me résigner à me déplacer.
D'emblée, le technicien, avec sa sympathie de technicien, me lance: "Vous savez, les machines ne se trompent jamais. S'il y a quelque chose de pas correct, ça vient de toi."
He patate, c'est qui qui les programme, les machines, hein? C'est qui? Si j'essaie de changer mon mot de passe, que ce nouveau mot de passe est invalide, mais que l'interface me dit pas de problème, votre mot de passe a été changé avec succès, il est où le problème, ducon? De mon côté ou de la machine qui ment?
"Les machines ne se trompent jamais", pouah. On se croirait dans les années 80.
J'étais furibond en sortant de là.
D'emblée, le technicien, avec sa sympathie de technicien, me lance: "Vous savez, les machines ne se trompent jamais. S'il y a quelque chose de pas correct, ça vient de toi."
He patate, c'est qui qui les programme, les machines, hein? C'est qui? Si j'essaie de changer mon mot de passe, que ce nouveau mot de passe est invalide, mais que l'interface me dit pas de problème, votre mot de passe a été changé avec succès, il est où le problème, ducon? De mon côté ou de la machine qui ment?
"Les machines ne se trompent jamais", pouah. On se croirait dans les années 80.
J'étais furibond en sortant de là.
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