La fille du jardinier
Quelquefois j'étais tiré de ma lecture, dès le milieu de l'après-midi, par la fille du jardinier, qui courait comme une folle, renversant sur son passage un oranger, se coupant un doigt, se cassant une dent et criant : "Les voilà, les voilà!" (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, p. 129)
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