Comme un étau de barbelés rougis à blanc
Quand je lisais Tristes tropiques cet hiver, l'idée m'est venu de m'aérer les esprits, le soir, en plongeant dans Du côté de chez Swann. C'était une belle époque. Alterner entre ces deux ouvrages était une véritable jouissance. Je mettais un instant de côté une lecture passionnante pour en embrasser une autre qui l'était tout autant, et vice versa.
Tristes tropiques terminé, je lis désormais Proust de façon plus assidue mais, ayant bien aimé cette idée d'alternance, j'ai décidé de poser un autre ouvrage sur ma table de chevet, d'un genre que je ne lis jamais, et que j'ai reçu à Noël : TERREUR À TRACADIE.
J'ai pensé vous offrir un extrait, pour la postérité : "En lisant le courriel, j'ai senti un étau de barbelés rougis à blanc me serrer la poitrine." (p. 237) Voilà. Le voyez-vous comme c'est beau ? Le voyez-vous, vous?
Je lis deux chapitres de TERREUR À TRACADIE le soir dans ma baignoire et le lendemain, dans le métro, je me précipite dans la recherche du temps perdu.
Tristes tropiques terminé, je lis désormais Proust de façon plus assidue mais, ayant bien aimé cette idée d'alternance, j'ai décidé de poser un autre ouvrage sur ma table de chevet, d'un genre que je ne lis jamais, et que j'ai reçu à Noël : TERREUR À TRACADIE.
J'ai pensé vous offrir un extrait, pour la postérité : "En lisant le courriel, j'ai senti un étau de barbelés rougis à blanc me serrer la poitrine." (p. 237) Voilà. Le voyez-vous comme c'est beau ? Le voyez-vous, vous?
Je lis deux chapitres de TERREUR À TRACADIE le soir dans ma baignoire et le lendemain, dans le métro, je me précipite dans la recherche du temps perdu.
1 commentaire:
Juste mettre quelque chose au clair, parce que si-mon n'a pas compris : "le voyez-vous comme c'est beau", c'était de l'ironie.
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