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2009/11/27

La modération

Ce matin, six commentaires de type "spam" étaient disséminés à travers mon blogue. Terrifié à l'idée qu'un raz-de-marée de tels messages me force à passer des heures à les effacer un à un, j'ai préféré activer la fonction de modération des commentaires. Prière de ne pas m'en vouloir. Ce n'est que temporaire. Je vous invite quand même à commenter en grand nombre.

2009/01/16

Une bouche de métro

Une belle histoire d'une ex-pucelle, à lire ici.

2009/01/12

J'ai sévi sur entendu.ca

Mais je dois avouer qu'il y a un malentendu : ils étaient encore dans le magasin. Ils venaient de payer et s'apprêtaient à sortir. 

2008/12/11

Mon petit nombril aujourd'hui

2008/10/29

Un autre bloguesque coup de coeur : Les humeurs d'une ex-pucelle.

2008/10/28

Deux blogues valent mieux qu'un

J'ai deux coups de coeur, deux blogues à dessins: 

Papa me fourre  Un blogue rempli de fiel et d'amertume.

Mon petit nombril Pour se remonter le moral après être passé par le premier blogue. 

2007/12/30

Avoir trois ans

Ce blogue a trois ans. Pour cette raison, je crois qu'il est temps de revisiter mon tout premier billet:
J'ai si honte. Deux verres de bière dans le nez, deux pitoyables verres de bière, et voici qu'il me prend cette idée honteuse. Oui, tant qu'il y aura de la honte, il y aura ce blog. Et pendant que ma coloc se plaint du froid qui envahit l'appartement, pendant que la propriétaire dort au chaud dans sa grande maison de Mont-Royal, eh bien voilà, j'inaugure ceci.

La honte est si intense que lorsque la coloc demande: qu'est-ce que tu tapes depuis tout à l'heure, je réponds: rien. Un email. Voilà. Il faut comprendre que la honte initie tout ça et que sans elle il n'y aurait rien.

Et le froid. Le froid aussi. Car le monde est froid. Il y a entre les choses un grave frisson qui s'éloigne et qui reste. Ça brûle de froid. Ça mord, comme les chiennes perfides au fond des ruelles s'en prennent à la main qui les nourrit.

Puis enfin, il y a les mots. Les mots que je lis et que je lirai. C'est au fond l'engagement que je prends: toujours lire un livre, chaque jour pour en noter quelque chose. N'ayez pas peur. Ça ne fera pas mal.
- La Gousse craintive, 12 décembre 2004
À l'époque, le blogue s'appelait Myriosis - La honte et le froid. C'était les deux concepts de départs, la honte, le froid. Et la littérature en filigrane. Qu'en reste-t-il trois ans plus tard, de ces voeux honteux ? Bien peu de choses à vrai dire. J'avoue m'être dissolu dans les avenues (que dis-je les avenues, les ruelles!) les plus diverses, zombies par-ci, belettes par-là, et surtout une gousse qui craint. Je dois me recentrer. J'ai besoin de résilience.

2007/11/14

J'aurais un commentaire à faire

Qu'est-ce qui se passe avec l'interface de Blogger? Je n'arrive plus à laisser des commentaires nulle part, pas même sur mon propre blogue!

Je crains.

2007/06/23

On m'a dit un jour que rappaz signifiait jeune homme, en portugais.

2007/06/22

Le blogue de Marie-Pierre

Voilà, elle a fait le saut : Sur le fil.

2007/06/09

Ekaterin, un blogue à visiter.

2007/05/28

Joseph Facal fait des merveilles aujourd'hui sur le poids politique du Québec dans la fédération canadienne.

Expo 67

Saisissant billet sur l'état de Terre des hommes sur Le blogue de pluche. Nombreuses photos now and then pour bien montrer le contraste.

2007/05/16

Nouveau domaine

On peut maintenant accéder à ce blogue en faisant: www.goussecraintive.com

2007/04/27

Quelques perles ici.

2004/12/23

Ce blog commence très mal

J'ai si honte. Après une semaine à peine, voici que Noël compromet tout. Là où je vais, dans les lointains replis de mon enfance, il n'y a pas d'internet. Aucune mise à jour, donc, durant quelques jours.

Là-bas, je m'amuserai à terminer Les enfants terribles et je dégusterai ce cadeau que je me suis fait de moi à moi, Sonnets à Orphée, de Rilke, en édition bilingue. J'ai si hâte.

Ce blog n'existe que depuis une semaine et déjà je n'arrive plus à le maintenir à jour. C'est parfait. Tout est sous contrôle. La honte domine et il fait froid.

2004/12/17

La première fois

J'ai si honte. Deux verres de bière dans le nez, deux pitoyables verres de bière, et voici qu'il me prend cette idée honteuse. Oui, tant qu'il y aura de la honte, il y aura ce blog. Et pendant que ma coloc se plaint du froid qui envahit l'appartement, pendant que la propriétaire dort au chaud dans sa grande maison de Mont-Royal, eh bien voilà, j'inaugure ceci.

La honte est si intense que lorsque la coloc demande: qu'est-ce que tu tapes depuis tout à l'heure, je réponds: rien. Un email. Voilà. Il faut comprendre que la honte initie tout ça et que sans elle il n'y aurait rien.

Et le froid. Le froid aussi. Car le monde est froid. Il y a entre les choses un grave frisson qui s'éloigne et qui reste. Ça brûle de froid. Ça mord, comme les chiennes perfides au fond des ruelles s'en prennent à la main qui les nourrit.

Puis enfin, il y a les mots. Les mots que je lis et que je lirai. C'est au fond l'engagement que je prends: toujours lire un livre, chaque jour pour en noter quelque chose. N'ayez pas peur. Ça ne fera pas mal.