Myriam Bédard
Les hasards de la vie m'ont mené hier à un spectacle de Constantinople - dont j'avais eu un avant-goût cet hiver lors d'un vernissage au consulat mexicain, rien de moins.
Il m'est arrivé à plusieurs reprise durant ce concert d'avoir la fugace impression de reconnaître quelqu'un parmi la foule assise devant moi. Chaque fois que cette femme tournait la tête, on aurait dit que c'était...
J'allais en faire la remarque à la Catalogne, assise à mes côtés, mais l'idée m'est d'abord venu de valider ce qui, de toute évidence, ne devait être qu'une vague impression de ressemblance entre cette spectatrice et une athlète de haut niveau. À côté d'elle se trouvait une fille d'une douzaine d'année et... l'hirsute mari! C'était bien elle, la reine de Lillehammer, la tireuse à l'oeil de lynx, l'employée délatrice, celle qui a "entendu dire que...", celle qui, partie dénoncer le terrorisme bureaucratique canadien à Washington, a passé le Temps de Fêtes en prison et à la une des journaux (vraiment son parcours me fascine)! Myriam Bédard, en chair et en os et en famille.
Voilà pour la petite histoire.
Il m'est arrivé à plusieurs reprise durant ce concert d'avoir la fugace impression de reconnaître quelqu'un parmi la foule assise devant moi. Chaque fois que cette femme tournait la tête, on aurait dit que c'était...
J'allais en faire la remarque à la Catalogne, assise à mes côtés, mais l'idée m'est d'abord venu de valider ce qui, de toute évidence, ne devait être qu'une vague impression de ressemblance entre cette spectatrice et une athlète de haut niveau. À côté d'elle se trouvait une fille d'une douzaine d'année et... l'hirsute mari! C'était bien elle, la reine de Lillehammer, la tireuse à l'oeil de lynx, l'employée délatrice, celle qui a "entendu dire que...", celle qui, partie dénoncer le terrorisme bureaucratique canadien à Washington, a passé le Temps de Fêtes en prison et à la une des journaux (vraiment son parcours me fascine)! Myriam Bédard, en chair et en os et en famille.
Voilà pour la petite histoire.
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