Dallas
Hier soir, la Catalogne et moi avions trois bonnes raisons d'écouter Dallas. La première, c'est que la célèbrissime série américaine a su se faire une place de choix dans le coeur de la Catalogne dès années 90 en étant la toute première série doublée en catalan. La seconde, c'est que je n'avais jamais vu un seul épisode. Enfin, la troisième et dernière raison, c'est que nous avions un ami en train de souper avec un ex-politicien de haut niveau et que ça nous obsédait. Il fallait à tout prix nous changer les idées.
Je dois avouer d'emblée que les deux épisodes que j'ai regardés (il s'agissait des deux premiers de la saison trois) m'ont beaucoup amusé. J'ai tout de suite été frappé par la ressemblance entre Jr Ewings et Stephen Harper et par l'importance de voir arriver chaque personnage en voiture. Dans Dallas, les entrées en scènes se font presque toutes en voiture. Et le centre-ville est toujours désert. À croire que seul les Ewings peuvent y circuler ...et les auto-patrouilles.
Et il y a quelque chose de très bucoliques, dans Dallas: les cowboys dans les champs, les drinks de filles près de la piscine. Les personnages portent le blanc avec plaisir. L'image est très brillante, un peu floue, comme dans un rêve. On croirait que Dallas est le paradis.
Mais il y a aussi un côté plus sombre. Des vaches contagieuses qu'on abat dans les champs, un bébé prématuré qui disparaît mystérieusement, de l'extorsion, etc., et surtout, surtout : Sue Ellen, qui revient broyée du sanatorium. Elle erre hagarde au ranch des Ewings, refuse de voir son bébé, se moque de sa disparition. Par moment j'avais l'impression de regarder Carrie. Puis j'ai compris: Sue Ellen est une zombie.
Je dois avouer d'emblée que les deux épisodes que j'ai regardés (il s'agissait des deux premiers de la saison trois) m'ont beaucoup amusé. J'ai tout de suite été frappé par la ressemblance entre Jr Ewings et Stephen Harper et par l'importance de voir arriver chaque personnage en voiture. Dans Dallas, les entrées en scènes se font presque toutes en voiture. Et le centre-ville est toujours désert. À croire que seul les Ewings peuvent y circuler ...et les auto-patrouilles.
Et il y a quelque chose de très bucoliques, dans Dallas: les cowboys dans les champs, les drinks de filles près de la piscine. Les personnages portent le blanc avec plaisir. L'image est très brillante, un peu floue, comme dans un rêve. On croirait que Dallas est le paradis.
Mais il y a aussi un côté plus sombre. Des vaches contagieuses qu'on abat dans les champs, un bébé prématuré qui disparaît mystérieusement, de l'extorsion, etc., et surtout, surtout : Sue Ellen, qui revient broyée du sanatorium. Elle erre hagarde au ranch des Ewings, refuse de voir son bébé, se moque de sa disparition. Par moment j'avais l'impression de regarder Carrie. Puis j'ai compris: Sue Ellen est une zombie.
2 commentaires:
OOOOOOOOOOOOOHH! OH MON DIEU!!!!!!!!
Merci pour ce témoignage. J'aimerai bien que tu postes un commentaire sur mon blog: http://projetdallas.over-blog.com/ ou même que tu m'envoies ton témoignage que je publierai directement sur le blog. mon mail perso: charlesericpetit@yahoo.fr.
Je travaille sur la série en ce moment en l'adaptant au théâtre.
Je te laisse découvrir.
A bientôt j'espère
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